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 HALF GODDESS, HALF HELL △ SKOPA I

Skohell-Pryde Saetre
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MessageSujet : HALF GODDESS, HALF HELL △ SKOPA I   
HALF GODDESS, HALF HELL △ SKOPA I EmptyMer 7 Mar - 23:26

half godess, half hell
skopa
There's a humming in the restless summer air and we're slipping off the course that we prepared, but in all chaos, there is calculation. Dropping glasses just to hear them break. You've been drinking like the world was gonna end, took a shiner from the fist of your best friend. They lose their minds for us, and now we're in the ring and we're coming for blood.

Quelque part dans les rues des Clématis, le loup se promène. Il porte un costume et a sa valise de cuir dans la main, dans laquelle se trimballent de nombreux dossiers. De l’autre main, il arrange sa cravate et en resserre le nœud. Il vient tout juste de sortir du palais de justice. Aujourd’hui, ce n’était pas un procès, il devait seulement déposer une assignation à l’huissier de justice. Ce n’était pas la même adrénaline que lors des plaidoiries, mais le jeune homme éprouvait une grande satisfaction dans tous les actes de procédure. Même si certains trouvaient que c’était complexe, difficile, que c’était de la perte de temps comparativement aux plaidoiries, lui en appréciait chacune des étapes, assis à son ordinateur, savourant sa victoire avant même la tenue de l’audience, dans un liquide vermeil, ni vin, ni alcool, pour ne jamais gâcher le goût de ses futurs triomphes.

Son choix de profession a suscité de nombreuses questions. Certains le prennent pour un corrompu parce qu’il passe son temps à défendre les pauvres et les criminels. Certains se demandent même comment il faisait pour pouvoir dormir la nuit, s’il n’avait vraiment aucun cœur, comme l’aurait dit la mère d’un jeune assassiné dans les Chiens de chasse, mais personne ne comprenait que Skohell avait laissé tomber la gentillesse il y a bien longtemps, endossant, incarnant le plus féroce et le plus affamé des chiens de chasse.

Alors qu’il descend les escaliers du palais de justice, le compagnon de garde est venu le voir en lui demandant d’assurer un tour de garde chez leur amie commune, une jeune Norvégienne qui semblait sur le bord du suicide, de mauvais caractère, anxieuse et névrosée, celle dont l’équilibre de la santé mentale reposait à une petite et ridicule chiquenaude. Tournant la tête dans les couloirs, ne tenant pas à gâcher son impeccable image, le jeune homme murmure à son camarade qu’il avait terminé de perdre son temps avec les gens des Clématis depuis un bon nombre d’années, ayant fondé son empire dans le mauvais quartier de la ville, mais quand l’homme lui donne une enveloppe jaune, alors il sourit, et conclut qu’ils avaient un marché. Le jeune homme ferait tout en échange d’un peu d’argent, quitte à retarder un peu de temps sur la collection. Aussi bien élevé qu’il était, il aimait jouer avec la nourriture. C’était tout aussi amusant pour lui que la procédure, que le déroulement d’une recette, et il se fichait bien de tout tant qu’il pouvait, au bout du compte, faire quelques recettes.

Alors, le jeune homme sort une de ses clés et entre dans l’appartement de la jeune femme. Grand, mais modeste, il sent un peu le renfermé. Fronçant le nez, il retire son veston et l’accroche proprement sur un cintre, faisant comme il était chez lui avant de se diriger vers la cuisine. Chacun de ses pas est feutré. Le loup vient d’entrer dans la bergerie, sans même se douter qu’il allait rencontrer une autre louve.

Il déboutonne le haut de sa chemise avant de passer un tablier autour de son cou. Le nouant avec une dextérité rare, il remonte ses manches. Puis, se dirigeant vers les tiroirs, il en sort un couteau et une planche à découper. Les déposant sur le comptoir, il cherche dans le réfrigérateur quelques légumes, mais peine perdue ; si ce n’était un peu de riz, et deux bouteilles de bière, tout était vide. Jetant un œil à sa montre, il conclut qu’il avait encore un moment avant l’arrivée de la propriétaire. Son camarade lui avait dit qu’elle ne reviendrait pas avant tard le soir. Descendant les escaliers, le jeune homme sourit, hoche la tête à certaines personnes avant de se diriger vers le marché le plus proche. Il faisait partie du décor, depuis le temps, et on jalousait la belle étrangère d’avoir un tel homme dans sa vie ; personne ne savait que cet homme n’avait que pour but de lui gâcher la vie, de la pousser au bord de la mort pour se repaître de sa chair, quand viendrait la fin faim du jour.

Une fois les courses faites, il commence à couper les carottes. Au début, il y va doucement, et ensuite, il enchaîne, et la cadence commence, le couteau monte, descend, tout est mécanique, et le jeune homme ne peut qu’être fasciné par cette mélodie. Il coupe encore plus vite, et avant même de se couper, il arrête. Ce n’est pas la douleur qui l’intéresse, autant que sa manière de jouer avec celle-ci de découvrir sa limite, son point de rupture.

Ensuite, il sort la viande. Il en coupe des tranches, ses mains deviennent vites ensanglantées, mais il en a l’habitude, il est complètement indifférent. Humain, animal ou incarné, cela ne fait pas de différence pour lui, dans ce monde, il s’agit de manger ou être mangé, que ce soit par l’humain, par un animal ou simplement par les larves lors du dernier repos. Le collectionneur apprécie la texture, il ajoute les tranches dans le poêle, apprécie les bruits de l’huile dans la cuisine qui bouille. Une douce odeur envahit la cuisine, si poussiéreuse, une odeur qui réveille au plus profond de lui ses instincts de chasseur.  

Soudain, il entend des pas dans les escaliers. Un sourire se forme sur ses lèvres carnivores alors qu’il entend les pas se rapprocher de la porte. Cette dernière s’ouvre, dévoilant une jeune femme aux cheveux noirs, aux traits fins, qui aurait pu faire nouer son estomac, lui donner des papillons dans le ventre, s’il était encore capable d’amour. Skohell, il ne sait plus que feindre depuis le temps. Essuyant le sang de ses mains sur un chiffon accroché sur le four, il sort de la cuisine pour accueillir son invitée dans le hall d’entrée. « Lupa, quel bonheur de te voir. » sourit-il. « Tu as l’air en pleine forme. » Ce qui est destructeur dans l’attitude du jeune homme, c’est le fait qu’il prononce les paroles sans la moindre touche de sarcasme, alors qu’il sait parfaitement que la demoiselle ne se porte pas bien, est en train de se mourir, il connaît la mort, il l’a frôlé, l’a donné de nombreuses fois. « Laisse-moi te débarrasser de ton manteau. » Il se rapproche de la jeune femme, assez pour qu’elle sente le parfum sur son cou, un parfum d’homme, un parfum d’un homme qui lui appartenait, peu importe ce qu’elle désirait. C’était une pure provocation, pour la faire plier, pour la faire craquer, comme la carapace d’un homard, comme la plus dure des noix. Skohell continue, sur le même ton mélodieux, léger : « J’ai préparé à dîner. »


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Lupa Ødegård
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MessageSujet : Re: HALF GODDESS, HALF HELL △ SKOPA I   
HALF GODDESS, HALF HELL △ SKOPA I EmptyJeu 15 Mar - 20:47

skoppa & le silence
Crissement des ongles contre le tableau noir, serres de rapace, ponctué des quelques larmes de son corps aux teintes du plus beau pourpre. Clignement d'yeux et le soupir exquis sortit de ses lippes, à l'intonation satisfaite alors que d'un simple geste elle détacha la nuée de fils sombres emprisonnés sur le haut de sa tête afin qu'ils ne ruissellent le long de son dos. Oh. Mais elle avait maigri un tant soit peu ou bien le reflet de la glace était encore une fois mensonger ? Ridicule. Ce ne serait pas une assiette de moins qui la ferait flancher, pas plus que cette voix dans la poitrine ne la faisait danser. Trop près du bord. Bien trop près. Quand est-ce que tu tomberas, Lupa ? Jamais s'obstinait elle à le susurrer en son intérieur, tandis que le monde prenait des proportions absurdes, que tout semblait se modeler devant le bleu de ses yeux, le teintant de noir et de blanc. Jadis, elle n'eût jamais éprouvé le besoin de faire coulisser ses ongles sur l'espace noir, de se repaitre de cet étrange bruit qui lui bombardait les oreilles tant il sonnait faux, incorrect. Désormais, l'affreuse mélodie lui plaisait dans sa sonorité criarde, la forçant à esquisser une grimace mais aussi à se concentrer sur autre chose que cette sensation d'étouffement qui lui prenait les tripes, bien trop souvent en une seule journée.

Tout contre ses paumes, des tâches bleues et rouges s'entrelaçaient, devenant tout à coup violettes, parfois d'un brun étrange qui lui rappelait le bois et la forêt. Cette ferme dont elle n'avait jamais vu ne serait-ce qu'une photo. Peut-être qu'en cherchant un peu ? En fouillant dans les quelques rares souvenirs qu'elle pouvait garder de la désastreuse famille qui était sienne. Ils étaient tous pathétiques, pourris dans les plus profondes artères, terrés et nuisibles, attendant le moment afin de lui sauter au cou et lui voler son air. Un sourire se dessina sur ces lèvres alors que sans grande volonté elle vint se gratter la joue, fourragea ensuite ces doigts fins dans ces cheveux d'encre, tira sur quelques mèches comme pour tester leur flexibilité. Qu'ils viennent encore, elle les chasserait à coup de flammes et les brûlerait comme une sorcière, ce surnom qu'ils adoraient lui donner. Se distanciant de ses pensées, Lupa baissa les yeux, contempla l'immense toile sur laquelle elle marchait presque, comme si celle-ci était la plus belle chose sur terre. Le plus beau blond qu'elle n'aurait pu espérer récupérer. Du bout du pied, elle vint percuter le gros pot de peinture recouvert d'argent, claquant son talon contre le sol non protégé, quelques heures avant elle avait ôté tout tapis, toute décoration. La moindre chose l'asphyxiait et tuait dans l'œuf son inspiration. Et la louve avait envie de peindre, elle avait besoin de peindre. N'importe quelle chose, n'importe quel tableau hormis cet horrible modèle de cubisme qui semblait l'exécrer au plus au point. Non, il lui fallait du concret, du réaliste, du réel, quelque chose qu'elle aurait pu toucher, modeler, modifier, entacher puis recommencer pour rendre plus beau. Elle aurait voulu déposer ses doigts contre la joue de l'autre, sa fleur, la seule chose que pourtant elle n'oserait toucher. Comment allait-elle ? Au bras de son si parfait époux. La grimace qui déforma son visage ne s'en alla que lorsque l'image du si parfait homme qu'il était fût lavée, que lorsque d'un simple coup de pied elle fit valser le pot, victime une nouvelle fois de ses crises.

Ramasse ou bien laisses le gâcher ton sol.

Le bruit de sa langue claquant contre son palais fût le seul à briser le silence de l'endroit, à percer ses pensées chaotiques alors que d'une étrange douceur elle fit glisser les tissus de la manche de sa robe longe et noire contre ses lèvres, éparpillant encore un peu de son rouge à lèvres rose mate. Elle cherchait à s'empêcher de dire le mot de trop. Mieux encore. Il lui fallait du jaune. Tout de suite. Du jaune pour contraster avec cette tenue bien trop sombre pour être habituelle. Il lui semblait qu'elle faisait un deuil, mais celui de qui ? La question ne se posait plus.

Presque mécaniquement, Lupa se dégagea du haut de sa toile, la parcelle de ciel dans ces prunelles ne se baissant que l'instant de constater les dégâts, éviter la flaque de rouge et de jaune. En passant on n'en verrait que les traces du bout de ces talons, toutefois elles marqueraient encore tout le salon. Elle n'éprouvait pas l'envie de nettoyer cet atelier.  Lentement, elle se déplaça en direction de la porte d'entrée, ramassant l'imposante veste pour la poser sur ses épaules frêles. Tiens donc, depuis quand faisait-il aussi sombre ? Depuis quand avait-elle froid ? Depuis que l'homme ne lui avait plus adressé de signe de vie.

" Tu sais que c'est compliqué. J'attendais au moins de tes nouvelles. "

Dernier message qu'elle lui avait envoyé, à lui, le frère de sa fleur, l'homme qu'elle n'avait pas. Il ne lui avait jamais répondu. Ce qu'elle pouvait haïr et aimer cet homme, c'était indescriptible. Sans se préoccuper de cette réponse qui ne viendrait pas elle rangea son téléphone dans sa poche, ouvrit la porte en venant y griffer la poignée et le bois, la referma en se glissant les couloirs de ce bâtiment vide, froid. Elle aimait cet endroit car elle n'y rencontrait jamais autrui.  

Les mains dans les poches, la Norvégienne se faufila dans les immenses rues de la ville, la tête haute, la fausse fourrure de sa veste venant chatouiller le bout de son nez. À l'extérieur le monde sembla s'étirer pour se contracter ensuite et les sons qu'elle entendait paraissaient presque irréels, elle craignait l'idée d'entendre des bruits imaginaires, de frôler la folie et de s'y perdre. C'était inutile tant cette voix faisait écho dans sa poitrine, par vagues, toujours plus fortes. Le temps d'arriver devant chez elle et ses membres étaient déjà frigorifiés, ses paumes se frottant les unes contre les autres, ses doigts s'entremêlant pour ne se lâcher que de nombreuses secondes après. La porte de sa tanière fût ouverte et alors qu'elle s'apprêtait à y rencontrer la tranquillité, le typhon l'emporta.

Le son de pas lui firent hausser la tête, ses bras retombant mollement le long de son corps alors que sa clé s'agitait encore entre son index et son pouce. Il ne lui fallut qu'un instant pour reconnaître son visage, que quelques secondes pour réaliser sa présence réelle, sa démarche étant toujours la même. Et sa voix. Elle sonnait toujours aussi doucereuse que la dernière fois qu'ils s'étaient vus. « Lupa, quel bonheur de te voir. » La louve plissa les yeux, une coulée de lave naissant dans ses veines, réchauffant sur l'instant son corps précédemment glacé. Bonheur non partagé. Toutefois il le savait, il le savait si bien qu'il se permettait d'en jouer. Le diable savait si bien se vêtir et se comporter qu'il se fondait parmi la masse, esquissant ce sourire propre, celui qu'elle aurait bien arraché en un coup de griffe. « Tu as l’air en pleine forme. » Bien évidemment.

— Tu n'as rien à faire ici, Skohell.

Elle prononça son nom avec plein d'amertume, sifflant entre ces dents comme un serpent plein de venin. Il n'avait rien à faire chez elle, dans son havre de paix, dans le seul endroit autre que son atelier où elle ne comptait sur la présence de personne. En déposant ses pattes à l'intérieur de son antre, il avait envahi son territoire, faisant croitre cette haine qu'elle ne cessait de ressentir envers lui, délicatement. « Laisse-moi te débarrasser de ton manteau. » Si adorable. Il jouait si bien le rôle du passif afin qu'elle ne prenne celui de l'agresseur.

Son odeur se ramena avec lui, rameutant ce désir qu'elle éprouvait à le mettre dehors, prendre ces talons afin de lui enfoncer dans l'abdomen. Tout chez lui était énervant, à la limite du supportable. Lorsque ses larges paumes se tendirent en direction de ses épaules, la brune chassa ses pattes d'un simple coup de la main, comme l'on chasserait un moustique ou un quelconque objet non désiré. Ces deux orbes bleutées se confrontèrent aux charbons des siennes, elle ne tenta pas de dissimuler son mécontentement.

— Ne me touches pas.

Ces ongles se plantèrent sur la peau blanche des mains du loup, se délectant presque de la tendresse de sa chaire, espérant le salir de ses doigts tachés par la peinture, malheureusement celle-ci était déjà sèche. Elle ne s'éloigna que plus fière, la veste retombant légèrement sur les épaules pour se diriger vers le salon. Lentement. Calmement. Elle fit le tour de la table centrale, rapprochant une chaise qu'elle avait sans doute dû oublier de plaquer contre le meuble en verre en partant. Il y avait quelque chose de différent. « J’ai préparé à dîner. » Son estomac se retourna alors que ses doigts se crispèrent tout contre la surface en verre.

— Barres-toi et prends ta nourriture avec.

Et ne reviens jamais, aurait-elle eu envie de dire si seulement cette demande ne tombait pas dans l'oreille d'un sourd. Lupa ferma les yeux, tirant contre elle de sa main gauche la parcelle de sa veste dévalant un peu trop ses épaules. Non elle n'avait pas faim, cette envie était devenue obsolète ces derniers temps. Cependant elle avait envie de voir ce qu'il avait fabriqué, afin de nourrir encore plus cette haine à son égard. Tel était le seul bien venant de lui qu'elle accepterait. Alors, ôtant la masse recouvrant tout le haut de son corps, elle se déplaça en direction de sa cuisine, jetant sa veste contre le sol comme si elle n'était rien de plus, sentant la douce odeur qui émanait des casseroles. Si douce... vicieuse. Du bout des doigts la jeune femme rattrapa le couteau présent sur la planche à decouper, caressant la lame quelques instants. Elle n'avait plus touché à sa cuisine depuis si longtemps... se contentant juste de se commander quelque chose ou de manger en extérieur lorsqu'elle mangeait normalement, ignorant l'existence de la pièce et ne se nourrissant de rien lorsque l'envie était absente. En cet instant elle réalisa qu'elle en avait une de cuisine, qu'elle en avait un d'appartement et que tout ne se résumait pas à son atelier, son travail et ces crises existentielles.

Il l'a touché ça aussi.
La lame s'enfonça soudainement contre la surface en bois faite exprès, ses doigts pales se blanchissant davantage sur les jointures. Il fallait qu'il parte sur le champ, Skohell.

— Dégage de chez moi, je n'ai pas envie de supporter ta bonne humeur ni encore ta présence.

N'ayant pas besoin de plus, contrôlée par une présence semblant extérieure elle se hâta d'ôter tout ce qui se trouvait devant ses yeux, laissant ses doigts courir tout contre les divers outils et assiettes, se brûlant la peau contre une des grilles allumées de son four. Elle grimaça, poussant un grognement douloureux alors que sa peau devenait rose.

Et cette odeur qui était délicieuse devenait néfaste. À nouveau.



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